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 jude ♚ angel with a shotgun

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audrey kingyo
je suis une patate
audrey kingyo


Messages : 530
Date d'inscription : 16/08/2009

jude ♚ angel with a shotgun Empty
MessageSujet: jude ♚ angel with a shotgun   jude ♚ angel with a shotgun EmptyJeu 12 Juil - 21:23

Jude P. B-Holmes
Tu peux grandir sans abandonner tous tes rêves, gamin.
You're human;
Nom Blackberry-Holmes
Prénom(s) Jude Peter
Âge 17 ans
Surnoms Pete. Mais on l'appelle surtout Jude.
Orientation sexuelle bisexuel
Groupe académie (étudiant)
Sponsor X-Trem Factory
Ce qu'il pense de la situation à Astrophel Il pense pas, c'est mieux. Il s'en sent responsable, même s'il trouve cela impressionnant - voire excitant - en même temps. Mais il n'empêche que pas mal de choses lui déplaisent.
Métier étudiant, héritier de X-TremFactory, héros en formation
Nationalité américain
Maybe, not totally;
Super-pseudo Holy Flame
Pouvoir maîtrise du feu
Description du pouvoir Jude a la capacité de contrôler le feu. Par le terme maîtrise, on entend aussi qu'il peut le produire, et ne contrôle alors que les flammes qu'il a engendré. Il en a un contrôle plutôt bon quoi que sous les émotions fortes il a du mal, et cela a tendance à un peu le fatiguer. Il peut néanmoins en fluctuer l'utilisation, soit en produisant de grosses flammes mais sur un temps faible, soit de faibles flammèches sur un temps beaucoup plus long. Il est immunisé à ses propres flammes mais peut être brûlé par d'autres. Sous la colère, il a tendance à produire de grosses flammes incontrôlées, de même que sous la peur, et essaie avec difficulté de régler ce problème.

Costume Une bonne grosse veste noire avec poches oranges vif, bordure autour de la capuche & fermeture-éclaire bien orange vif aussi, bottes montantes lassées en cuir noires, qui arrivent au milieu des mollets, et pantalon noir qui entre dans ses chaussures. Il porte aussi de grosses lunettes noire style aviateur opaque afin de dissimuler son visage. Le tout renforcé pour une plus grande sécurité !

Gadget Jude possède deux gants lui permettant de se propulser, à la manières de deux fusées. Ils fonctionnent grâce à son pouvoir, étant alimentés par ses flammes. Ils ne sont donc utilisables que par lui, et s'il ne peut plus user de son don, ils ne sont plus rien que deux gants forts esthétiques mais pas vraiment utiles.
ft. tsunayoshi sawada (KHR!)
Physique;
Tu n'es pas quelqu'un qui sort de la masse. Tu n'as pas un physique extraordinaire, tu passes parfaitement dans cette foule d'anonymes dont les visages ne marquent pas intensément les esprits, juste un énième visage éphémère. Rien en toi ne se démarque réellement. Tu ne fais pas grand chose pour aussi, il est vrai ; tu ne cherches pas à te graver dans les esprits, tu préfères rester discret dans ton physique. A la limite, l'on peut se souvenir de toi pour une chose : ta taille. Et encore, même là, u ne sors pas non plus énormément de la norme. Parce qu'en fait, t'es petit pour ton âge. Tu tapes dans les 1m68, trichant sur ta chevelure pour donner quelques centimètres de plus. En réalité, tu complexes. Tu as beau faire comme si tu ne complexais sur rien, comme si tu te sentais super bien dans ta peau, tu rages un peu – beaucoup – sur ta taille. Le reste tu t'en fous, mais t'es petit, et c'est chiant. Et si cela se limitait à cela...

Le problème, c'est que t'as une gueule de gosse. De grands yeux caramels, des traits fins, un visage assez arrondi, un visage un peu enfantin, encore vachement juvénile. Du coup, on ne te donne pour ainsi dire jamais ton âge, tapant plus généralement dans les quinze ans. Et c'est violemment frustrant. Tu ne fais pas non plus enfant, mais à première vue, on se trompe quasiment tout le temps sur ton âge, alors que non tu ne viens pas d'entrer au lycée, tu vas bien passer à l'âge adulte... Ce que cela peut te gonfler. Mais à dire vrai, tu fais rarement des efforts pour rectifier cela : quand on se sape en vrac avec des trucs parfois trop grands, ce qui nous rend encore plus petit et faible, ça n'aide pas.

Il faut dire que tu préfères te sentir bien dans tes pompes. Tu n'es pas une fashion victime, loin de là ; tu préfères un bon gros sweat difforme, un jean – troué, tu t'en fous, et c'est pas pour le style, c'est juste que t'as eu la flemme de recoudre après t'être vautré la gueule – et des baskets dans lesquelles tu te sens bien, et osef si elles sont en décomposition. Enfin pas à ce point là, mais voilà, tu préfères l'agréable. Quoique t'aime bien mettre des converses, et le style sportswear aussi. Les trucs trop stricts, trop serrés, t'aimes pas vraiment. Bien sûr qu'un costard est nécessaire dans certaines circonstances, bien sûr que plus tard tu devras souvent être sapé comme ça parce qu'un PDG en jogging ça le fait pas – cette idée te fais doucement sourire – mais pour le moment, tu ne veux pas vraiment te prendre la tête. Qu'on te laisse te préparer psychologiquement, vous voulez bien ?

Tu n'es pas bien large, tu n'as strictement rien d'impressionnant. En plus de ta taille et de ta bouille de gosse, tu as une carrure assez svelte, une fine ossature et des muscles absolument pas saillants. Tu n'en es pourtant pas dénué, mais même torse nu, ta musculature n'es pas des masses visibles. Tu es bien dessiné c'est un fait, ce n'est pas désagréable à voir mais tu ne sembles pas excessivement sportif, et l'on aurait attendu certainement plus du fait de tes exercices quotidiens et de ton moyen de transport favori. Tu as de jolies mains, un peu rondes, qui accentuent légèrement ton côté puérile, et tu n'es pas très lourd. Pas trop, mais n'oublions pas que même s'il n'est pas vraiment flagrant, tu as du muscle, donc tu as tout de même ton poids. L'on a même tendance à être surpris, du fait que l'on t'imagine vachement plus léger – mais attention, cela ne veut pas dire que tu es particulièrement lourd. Juste que c'est surprenant.

Tu as une peau de bébé, tu es assez pâle mais rosé et n'a pas d'acné. Tu as du bol de ce côté là. Ta peau est assez douce quoiqu'un peu grasse, signe distinctif de l'adolescence, mais comme tu te laves bien la peau ça va. Cette couleur de peau fait un peu ressortir ta crinière châtain, chocolatée, avec de très légers reflets roux. Ta grosse crinière châtain, chocolatée, avec de très légers reflets roux. Disons que niveau masse de cheveux, t'es équipé pour l'hiver. C'est d'ailleurs pour cette raison que tu l'utilises pour tricher sur ta petite taille qui te fait tant râler. Avec cette chevelure s'accorde merveilleusement bien tes yeux caramel, un peu noisette selon la luminosité. Tu vois, tu ne sors vraiment pas du lot, tu n'as pas une beauté plastique, hollywoodienne. T'es mignon, c'est un fait, ton nez très légèrement en trompette et tes longs cils te rendent un peu plus craquant, tout comme tes pommettes hautes, mais sinon, rien n'est extraordinairement parfait chez toi. Tu dégages juste un truc.

Tout en étant décontracté, tu attires un peu le regard, tout de même. Disons que dans la masse, l'on ne te distingue pas, mais il suffit que l'on pose les yeux sur toi pour avoir du mal à les détourner. Ton sourire est vrai, authentique, ton regard est clair. C'est comme si tu étais un être des plus simples, tu es facilement accessible. Tu donnes envie de te parler, tu n'as en rien l'air farouche. C'est ce petit quelque chose que tu dégages qui te rends unique, ce ne sont pas des traits d'une perfection photoshopée, pas une classe innée. Juste ton naturel, juste ton sourire, juste ton regard, c'est ça qui te rend unique, ça et seulement ça. Une sorte de charisme naturel qui te seras utile plus tard, n'est-ce pas ?

Mais tu n'as pas envie d'y penser. Tu veux juste te saper en vrac tranquillement, ne pas penser à te coiffer et laisser tes cheveux faire party hard, juste être encore un adolescent random pendant un moment. Un court instant.

Caractère;
Imperfection qui rêvait d'être autre, gamin qui aurait tant aimé ne pas naître. Tu n'es rien de plus qu'un adolescent ordinaire – plus vraiment, n'est-ce pas ? Tu es bientôt un adulte, tu n'as plus grand chose d'un enfant. Et puis, de toute façon, tu n'en aurais pas le droit. Tu ne perds pas ton côté rêveur cependant. Toujours la tête ailleurs, toujours à rêver d'ailleurs. Ailleurs. Ce mot te hante, un peu. Tu aimerais ne pas être là, si ? Non. Si. Tu ne te plains pas de ta vie, tu ne t'en plaindras pas. Pourquoi faire ? Elle ne te déplaît pas. Mais ailleurs, ça sonne exotique, ça sonne doux et voluptueux. Ce ailleurs que tu cherches un peu partout, dans des bras ou des combats, dans des livres ou des films, des jeux, des amis...

Tu es normal. Plutôt social, on se sentira naturellement attiré par ton regard chaleureux, ton sourire confiant et ta main tendue. Tu es du genre ami toujours présent, celui qui soutient, qui pousse à rire quand tout va mal. Celui qui s'oublie peut être un peu trop. Es-tu égoïste, Jude ? C'est normal tu sais, c'est humain. Alors, es-tu égoïste, Jude ?

La réponse est oui, la réponse est non. Tu t'oublies pour les autres, te blesses, te déchires, si c'est pour soutenir. Si tu aimes, tu t'oublies. Si tu n'aimes pas, un peu moins. Tu ne perdras jamais tes valeurs, jamais tu ne te pardonneras de laisser un civil être blessé - et tué, n'en parlons pas. Tu es du genre qui veut sauver le monde, peut être vraiment trop rêveur, utopiste un peu. Peut être par orgueil ? Non, l'orgueil n'est pas ton pêché, gamin. L'anonymat t'es plus agréable, en réalité. Tu aimes que l'on te sourit, à toi être ordinaire. Tu n'aimes pas spécialement le feu des projecteurs, peut être parce qu'ils ne te rappellent pas forcément tes meilleurs souvenirs. Tu n'envies pas spécialement ces célébrités, qui passent à la télé – ta place, que tu le veuilles ou non, sera au dessus d'eux, certes, mais aussi et surtout, loin, très loin. C'est peut être en réalité cela que tu leur envies : toi, tu es destiné à un siège surplombant la ville, alors que d'autres partiront à l'aventure, feront de merveilleuses rencontres et s'épanouiront. Toi, tu n'as pas le choix de ce que tu feras plus tard, et c'est peut être cela, qui serre ton cœur et te ronge.

Alors tu essaies de vivre dans l'instant présent – essaies seulement. L'on a beau avoir du mal à y croire, tu n'es pas quelqu'un de simple qui vit au jour le jour et qui ne se prend pas la tête. Non, parce qu'en réalité, Jude, tu vis le regard tourné vers le passé, et écrasé sous ton avenir. Tu as beau dire, tu as beau sourire, quand tu es tout seul, tu pleures, quand tu es tout seul, tu te ronges les ongles, quand tu es tout seul, tout cela t'encombre, c'est trop lourd sur tes épaules encore un peu frêles. Même si devant les autres, tu souris, même si devant les autres, tu plaisantes, ou te montres sérieux, même si tu es plus souvent celui qui entraîne que celui qui suit. Parce que devant les autres, tu dois être fort ; mais tout seul, tu peux être toi. Juste toi. Un gosse paumé qui aimerait fuir mais ne le fait pas, parce que tu refuses de te laisser crouler sous ta propre lâcheté.

Quand tu as mal, tu avances. Quand tu as peur, tu progresses. Face à tes derniers retranchements, la flamme que tu es s'embrase et grossit, et tu montres que la vie qui t'habite est impossible à étouffer. Tu es quelqu'un de déterminé, qui s'accroche au dernier espoir, à tout, tu continues de te battre alors même que tout est fini. Tu es trop borné en réalité, et tu te prendras certainement plus d'un mur – tu t'en es déjà pris, non ? Tu ne baisses jamais les bras, tu as la rage de vaincre, et c'est ce qui te permet d'avancer – de continuer de garder la tête haute, le dos droit.

Tu n'es pas la délicatesse incarnée, que l'on se le dise. Tu n'es pas non plus le type le plus violent de l'univers. Tu sais être tendre et délicat, quand prendre des pincettes et dire des mots tels des caresses, quand cela est nécessaire. Tu es extrêmement empathique et as un désire ardent d'aider ceux qui ne vont pas bien, alors même que tu te refuses de l'aide pour toi. Tu seras toujours là pour prêter main forte, même à ceux qui t'irritent, parce que c'est dans ta nature. Que l'on te blesse, tu auras du mal à abandonner cette personne si elle est dans le besoin ensuite. Tu te sens horriblement égoïste quand tu essaies, alors que l'on te reproche ta « trop grande gentillesse ». T'y peux rien si t'y arrives pas. T'y peux rien si tu ressens le besoin de sauver tout et tout le monde. Mais qu'on te laisse rêver !

Tu rages un peu, Jude, mais tu lèves rarement la voix pour l'exprimer. Tu as une sainte horreur de l'injustice, et quand elle frappe quelqu'un, tu ne peux t'empêcher de hurler au scandale et de chercher à la réparer. Pourtant, quand quelque chose t'affecte, quand l'on te blesse, tu ne lèves que peu la voix. Tu as tendance à fermer ta gueule et encaisser, jusqu'au moment où tu ne pourras plus rien retenir, jusqu'au moment où tel un volcan en irruption, tu exploses. Et quand cela arrive, ce ne sont pas des mots doux qui t'échappent, c'est toute la violence dont tu es capable qui se déverse sur ta pauvre victime, c'est un langage fleuri et des termes qui blessent, c'est de l'acide qui vous ronge et un regard qui devient humide alors qu'il se calme. Tu détestes ça. Tu détestes les conflits, en réalité. Et tu détestes dire réellement ce que tu penses et ainsi blesser les autres. Bien sûr, c'est inévitable... Mais tu t'en sens toujours tellement coupable... Cette culpabilité qui ne quitte que difficilement vos épaules, ce poids que tu n'arrives pas à enlever de tes frêles épaules.

Tu es quelqu'un d'impulsif. Tu réfléchis les jours impairs des années bissextiles avant d'agir. Et c'est d'ailleurs pour les paroles d'ailleurs ; tu es aussi particulièrement spontané. Bien sûr, ce ne sont pas des reproches qui t'échappent facilement, juste d'énormes conneries. Et c'est dans ces moments-là que l'on pense sincèrement que tu es con. Ce n'est absolument pas le cas... Enfin disons que des fois t'es pas bien malin et que comme tu ne penses pas avant de parler, ça donne n'importe quoi. Tu as d'ailleurs un langage assez poli et sobre, tu dis rarement d'injures, mais de la bouse arc-en-ciel, ça, on n'y réchappe pas. A force de te connaître, on se dit que plus rien ne peut nous surprendre... Et on se plante. Parce que t'es tellement balèze que t'arrives à dire des trucs complètement débiles auxquels personnes n'auraient pensé, et tu n'as même pas un tout petit peu honte.

Tu n'es pas quelqu'un de sérieux, tu n'es pas prise de tête. Tu adores la déconnade, et vu ce qu'il y a d'écrit plus haut, c'est mieux. Tu prends à cœur tes études, mais pas non plus au point de chercher à être le meilleur. Tu aimes bien faire la fête de temps en temps, te vider l'esprit et juste être un ado – un jeune adulte – normal. Tu t'es déjà payé de bonnes cuites un certain nombre de fois, t'adores les bières, mais tu n'as jamais touché à un joint ou une clope de ta vie. Cela ne t'intéresse juste pas. Tu n'as pas de réel complexe, tu es même assez dévergondé sur les bords. T'es pas le mec le plus coincé de l'univers, bien au contraire. Tu aimes rire, et tu es particulièrement social ; il est fort aisé de t'approcher et d'entamer la conversation avec toi. Et toi-même, tu n'as pas vraiment de gêne à t'incruster dans une conversation, de préférence en disant une connerie. Parce que dire n'importe quoi, c'est une manière tellement fabuleuse de cacher que l'on va mal, parce que sourire, c'est le meilleur des masques.

Les plans et toi n'êtes pas vraiment amis. Tu fonces tête baissée sans réfléchir des masses au préalable, et as ainsi fortement tendance à faire capoter la plupart des plans prévus à l'avance. Tu es d'avantage dans l'instinct, tu préfères t'adapter à la situation et répliquer en conséquence que les plans alambiqués et tordus. Tu es plus primitif peut-être, mais tu y prends aussi un peu plus de plaisir, il faut le dire. T'aimes pas trop obéir bêtement. T'es plus un gros bourrin qui fait beaucoup de bruit et de dégâts. D'ailleurs tu réfléchis rarement à tout ce que tu peux détruire, tant que tu sauves des vies, tant que personne n'est blessé.

Tu préfères différencier le toi public et le toi privé. Tu vis mieux le fait de te dire qu'il y a toi, le vrai toi, et le héro. Celui qui pourrait tuer si cela était nécessaire pour sauver d'autres vies. Tu préfères parce que cela te rassure, parce que cela te préserves. Tu te caches de toute cette violence, de la tienne aussi. C'est plus simple ainsi, de se bander les yeux sur la réalité, c'est plus simple de tout laisser à la porte d'entrée quand on rentre chez soi. Que les deux univers soient imperméables à l'autre... Même si pour toi plus encore que pour les autres, c'est sans doute fort difficile, n'est-ce pas ?
une petite citation
Histoire;
Tu veux pas qu'on t'en parle, t'as pas envie de te rappeler.
Tu dis cela, mais tu y penses tous les jours.

« Aujourd'hui, une tragédie vient d'ébranler toute la ville. Frédéric Blackeberry et sa femme sont morts alors qu'ils se rendaient à un New York, dans leur jet privé, ainsi que le personnel à bord. En tout, ce sont sept personnes qui nous ont quitté la nuit dernière... »

Tu ne veux pas qu'on t'en parle, t'as pas envie de te rappeler.
Tu voudrais que cela cesse de te hanter, t'aimerais juste pouvoir tourner la page.
Mais ça fait 9 ans, et t'as toujours pas fait ton deuil.

***

Jude Peter Blackberry-Holmes a vu le jour un 12 août, sous une forte canicule. T'aimes bien l'été. Tes parents étaient comblés au possible par cette naissance. T'étais un petit bébé, t'avais l'air tout fragile, et t'étais la prunelle des yeux de tes géniteurs. Tu avais beau avoir l'air tout faible, ton père était l'homme le plus fier du monde, quand bien même on aurait pu croire qu'il serait ne serait-ce que légèrement déçu de ta morphologie. A ses yeux tu étais le meilleur des petits garçons, et ta mère en était plus heureuse encore.

Tu étais plutôt bien né, il faut le dire, qu'importe qu'à présent cela ne soit un poids. Ton père était Frédéric William Blackberry, le PDG de X-Trem Factory. Il avait rencontré sa femme, ta mère, plusieurs années auparavant. Cela avait été le coup de foudre, et Frédéric avait tout – absolument tout – fait pour la conquérir. Il l'avait couverte de cadeaux, lui avait fait la cour plus que nécessaire et avait même fait fuir les autres prétendants. Et à dire vrai, Ophelia, ta mère, l'avait trouvé amusant d'agir ainsi, surtout alors qu'elle était déjà complètement dingue de lui. Mais elle s'était un peu amusée à le faire courir tout de même. C'était une belle histoire d'amour digne d'un bon gros film à l'eau de rose qui avait uni tes parents, leur avait offert un magnifique mariage princier, puis le bout de chou que tu étais.

Tu adorais tes parents. Ils étaient attentionnés, vraiment ; même si ton père était rarement à la maison, ta mère elle s'occupait toujours bien de toi. C'était une mère au foyer comblée qui savait bien se faire respecter ! Tu adorais ta mère, elle était toujours si douce et souriante, mais en même temps, elle savait être stricte quand il le fallait. Elle ne cédait pas facilement à tes caprices et savait te punir et ne pas succomber à ton grand regard innocent qui donnait envie de croquer ta bouille de gosse. Non, les caprices, c'était papa qui trinquait. Parce que malgré son tempérament de business man sans scrupules et ambitieux, devant tes grands yeux candides, il flanchait comme un idiot. Tu en faisais absolument tout ce que tu voulais, alors que ta mère rouspétait. Il avait même failli acheter un parc d'attraction juste pour toi, mais ta mère l'avait vite calmé... C'est triste tu l'aurais bien voulu ton parc d'attraction.

Oui, tu étais un gosse gâté pourri.

Tu ne peux pas te plaindre de cette époque, ça serait se foutre de la gueule du monde, vraiment. Tu étais heureux comme tout, tu allais dans l'école la plus huppée de la ville, vivais dans une grande baraque, et même si ton père n'était pas très présent, tu ne manquais pas d'amour, ni même de son attention à lui. Une fois, il avait avorté une réunion importante parce que tu étais parti tout seul de ton école. Parce que tu voulais que ton père vienne te chercher. Voilà, t'étais un gosse tout bonnement insupportable en fait. Tu avais été grondé par ta mère, mais ton père s'était surtout occupé de faire renvoyer ton institutrice qui n'avait pas été capable de garder un œil sur toi.

Tu étais déjà entré dans le grand bureau de ton papa, sans vraiment comprendre ce que cela impliquait, tout ça. Tu ne pouvais pas vraiment comprendre, à l'époque, ce monde qui t'entourait. Tu trouvais les héros trop cools, et ton préféré c'était ton oncle. Pour toi c'était le meilleur, et de super vachement beaucoup loin. En plus il était trop classe, et il était super gentil avec toi. Tu sentais bien qu'entre lui et ton père, ce n'était pas l'amour fou, mais quand t'étais là, ils faisaient l'effort de montrer qu'ils formaient une famille. Maxence était le frère de ta mère, mais c'était surtout le meilleur des tontons.

En fait, ta vie était parfaite, tout bonnement parfaite. T'étais pas non plus un gosse super facile, sûrement à cause de ton père qui ne savait pas te dire non, mais il y avait bien pire. Tu te souviens encore des repas de famille, flous dans ta mémoire d'enfant, avec tes parents, ton oncle, tes grands parents. Les parents de ton père étaient des personnes fort riches qui avaient eu du mal à accepter leur belle-fille, bien moins aisée, dans leur cercle. Mais ils n'avaient rien dit, et puis Ophelia avait su se montrer parfaite. Ils te faisaient un peu peur, les parents de ton père. Bien que tu ne te souviennes pas bien de ton grand père, mort quand tu étais tout petit.

Puis il y a eu la chute. La chute de ton petit monde de paradis et de rêves, de ton monde simple et heureux. Le drame de ta vie, la fin de cette aire de bonheur simple et calme. Tu n'avais que huit ans, et pourtant, ta vie bascula.

Tes parents étaient parti en te laissant chez tes grands parents maternels. Ils allaient à New York pour un voyage d'affaire. S'il avait emmené sa femme, c'est parce qu'il lui avait promis qu'après quelques rendez-vous, ils passeraient quelques jours ensemble, juste tous les deux ; c'est l'éternité qu'ils partageraient. Car jamais l'avion n'arriva à destination. Les communications furent perdues au cours du voyage, et ne furent jamais rétablies. Le jet privé de ton père se crasha sur sa route. En tout, ce sont sept personnes qui moururent ce jour-là ; en tout, ce sont tellement plu de vies qui s'écroulèrent.

Tu t'en souviens parfaitement, tu es incapable de l'oublier. Jamais cette image ne s'effacera de ta mémoire, jamais tu n'oublieras ses yeux, son hurlement alors qu'elle n'y croyait pas, qu'elle ne voulait pas y croire. C'est chez tes grands parents que ton monde s'écroula tel un château de cartes. Tu étais en train de prendre ton petit déjeuner, encore pas tout à fait éveillé, puis le téléphone a sonné. Ta grand mère s'est empressée de décrocher, un sourire aux lèvres, une cuillère à la main. Tu te souviens de ses sourcils qui s'étaient froncés, de sa posture qui s'était montrée moins amusante, de son regard soudain perdu. Tu te souviens du son de la cuillère qui tombe au sol, de ses genoux qui flanchent, de son cri. Tu te souviens t'être levé pour aller la voir, mais t'être stoppé d'effroi devant son hurlement de désespoir. Tu n'avais que huit ans, tu ne comprenais pas ce qui pourrait la mettre dans un tel état. Ton grand père avait accouru pour prendre sa femme dans ses bras, lui prendre le combiné des mains, voulant comprendre. Tu te souviens, enfin, de son regard à lui.

Il n'avait pas hurlé. Il n'avait pas pleuré. Il avait juste serré un peu plus fort sa femme qui se pliait, hurlait, pleurait dans ses bras. Il avait fini par raccrocher, lever les yeux vers toi, brillants. Et toi, t'étais aussi paumé que mort de trouille. Il t'avait demandé d'une voix brisée que tu ne lui connaissais pas d'aller dans ta chambre, et tu avais obéi docilement, alors que la peur tordait ton petit ventre. Tu t'étais contenté de t'asseoir sur ton lit, écoutant attentivement ce qui se passait hors de ta chambre. Ta grand mère avait fini par se calmer, mais au fond, tu savais que plus rien ne serait pareil. Tu savais que quelque chose de grave, de très grave était arrivé. Quelque chose qui expliquait aussi la pitié que tu avais vu dans les yeux de ton grand père, derrière tout le désespoir qu'il essayait de ne pas laisser transparaître.

Cette journée fut fort longue, et pourtant, tu t'en souviens dans tous les moindre détails. Tu te souviens à quel point les minutes pouvaient paraître longues, à quel point le silence pouvait être effroyable. On t'avait interdit d'allumer la télé, en plus. Tu sais pourquoi, maintenant. Les adultes ne t'avaient pas oublié, Jude, mais ils ne pouvaient pas vraiment s'occuper de toi. Au bout d'un moment, un ami de tes parents était venu te chercher. Tu croyais qu'il allait t'emmener les voir, mais il n'en fut rien. Tu vis ton oncle vous rejoindre, cet homme grand au fort, qui pourtant avait ce regard brisé, si faible. Le plus frappant fut sûrement quand il te vit. Il s'approcha, fébrile, mit genoux à terre. Tu ne savais pas qu'il avait décidé qu'il te le dirait lui. Tu ne savais pas qu'il avait décidé d'alléger un peu les épaules de ses parents déjà détruits. Il t'avait mis la main sur l'épaule, le sourire le plus triste que tu n'ai jamais vu aux lèvres.

« Jude... Ton papa et ta maman, ils sont partis. »

Partis ? Partis comme... Comme en voyage ? Tu le savais, ça ! Ils avaient même pas voulu t'emmener avec eux. Non Jude, ils n'avaient pas voulu, et c'est pour ça que t'es encore là. Il avait tenté de t'expliquer cela avec des mots simples, sans être trop violent, sans trop te briser brusquement. Mais tu n'étais pas bête. Et c'est un regard simple, presque inexpressif, que tu posas sur lui, demandant alors brusquement :

« Ils sont morts ? »

Tu te souvenais du hurlement de ta grand mère, du regard brisé de ton grand père, du dos rond de ton oncle.

« Oui. Ils sont morts. »

C'est un peu flou subitement. Tu crois... Tu crois que tu as juste baissé les yeux, puis es parti dans ta chambre sans rien dire. Et que tu as pleuré. Que tu as pleuré tout ton soul, dans ton drap, que tu l'as beaucoup mouillé d'ailleurs. Tu es resté tout seul en boule un moment, jusqu'à tomber de fatigue, jusqu'à sentir Morphée t'emporter pour calmer tes hoquets et tes sanglots incessants. Quand tu t'es réveillé, Maxence était là, assis sur le rebord de ton lit. Tu ne t'étais pas précipité dans ses bras, tu étais resté en boule. Le voir ainsi t'avait subitement rappelé pourquoi tu avais si mal aux yeux, pourquoi tu avais si mal à la poitrine. Il avait passé une main tremblante dans ta tignasse et t'avait fait une promesse. Il t'avait promis qu'à présent, il s'occuperait de toi, qu'il te protégerait comme Ophelia et Frédéric l'auraient fait.

Les jours suivants sont plus flous, plus tumultueux dans ton esprit. Les grands ont organisé l'enterrement de tes parents, qui resta très secret. Ils ne voulaient pas voir le moindre journaliste bafouer ce moment de recueil. Ces gens-là sont des vautours, des êtres qui se nourrissent de la souffrance des autres pour leurs misérables papiers. A chaque fois que t'allumais la télé et tombait sur les infos, on en parlait, encore et encore, on donnait des détails sur l'accident, on parlait d'assassinats, de complots. On pointait parfois Maxence du doigt, parfois des mafias qui auraient soit disant collaboré avec la boîte de ton père. Oh oui, on l'a salie, son image. Aucun respect pour les morts ! Ni pour les familles en deuil, ni pour le jeune héritier de huit ans qui se retrouvait projeté aux devant de la scène.

Maxence a tout fait pour garder ton identité anonyme. Frédéric et Ophelia y tenaient déjà assez à l'époque, personne ne connaissait ton visage. Tes grands parents déménagèrent, et ils récupérèrent ta garde. Ils quittèrent quelques années Astrophel avec toi pour retourner vivre à Philadelphie, leur ville d'origine. Tu appris que ta grand mère paternelle ne survécu pas à la mort de son fils, tout comme tes grands parents semblèrent en devenir malades. Tu avais régulièrement des nouvelles de Maxence, que tu appris être à présent à la tête de X-Trem Factory. Il te manquait, ton oncle. Mais en fait, ce qui te manquait le plus, c'était le sourire de ta mère, ses bras réconfortants, les éclats de rire presque exagérés de ton père, ses frasques, son regard alors qu'il fondait devant le tien, ton lit douillé que ta mère venait border tous les soirs, l'odeur des gâteaux qui sortaient du four que tu pourrais dévorer au goûter, les comptines que tes parents te chantaient parfois, la chaleur de ton petit foyer... Trop de choses, trop de choses te manquaient, trop de choses qui étaient parties en même temps que tes deux héros.

Tu passas ainsi presque trois ans loin d'Astrophel, loin de ta ville natale où le bordel et le fric régnaient en maîtres. Jamais tes grands parents ne se remirent de la perte de leur fille – et c'était bien normal, après tout, l'ordre des choses est qu'un parent parte avant son enfant. Les journées étaient longues et mornes, tandis que toi non plus n'arrivais pas vraiment à t'en remettre. Puis un jour, il fallait que tout cela se rappelle un peu plus à toi. Cela arriva à tes onze ans. A l'école, tu étais plutôt renfermé, tu parlais plus vraiment avec les gosses de ton âge, ou quand tu le faisais, tu avais tendance à être agressif. Dépressif, certainement. Les enfants de ton école t'aimaient pas. Et un jour qu'ils se moquaient un peu trop de toi, ils allèrent trop loin. Ils eurent la très mauvaise idée de parler de tes parents, et le pantalon d'un d'eux prit feu, tandis que tu sentais tes doigts devenir brûlants.

Ce n'était pas douloureux, pas désagréable non plus. C'était juste très très chaud. Le garçon qui avait osé dire que ta mère était une « pute » et ton père « juste un client qui voulait se vider » finît son calbut' rose à découvert au milieu de la cours. Personne ne comprit, sur le moment, ce qui venait de se passer. Puis fut très rapidement émis l'hypothèse que tu ais un don. Tes grands parents le vécurent assez mal, ne voulant plus mettre les pieds à Astrophel. En fait, ils ne le supporteraient pas. Maxence alors proposa de s'occuper de toi, et tu serais envoyé à l'académie de la ville.

Tu avais onze ans, onze ans quand pour la première fois tu vécus seul. Non pas que tu ais un toit à toi, mais plus que Maxence ne passait pas tous les jours. Au début il essayait d'être là un maximum et fit même en sorte de poser quelques jours de congés – quand on est le boss c'est parfois un peu chaud. A ton arrivée à l'académie, il fut confirmé que tu pouvais maîtriser le feu. Même si c'était un bien grand mot, dans la mesure où tu ne contrôlais strictement rien. Tu appris à te débrouiller un peu, et à utiliser l'extincteur particulièrement vite. Fallait dire que tu mettais régulièrement le feu, dés que tu t'énervais où que tu essayais de faire la cuisine... Oui vous changiez souvent la cuisine.

Tu étais la plus grande majorité du temps tout seul à la maison, tu te faisais chier et déprimais à mort. Alors, tu as vite commencé à traîner dehors, tu as commencé à vouloir être plus sociable aussi, à ne plus vouloir, non, à ne plus supporter la solitude. A l'académie, tu as fait de ton mieux pour t'intégrer, quitte à faire le clown. Tu étais maladroit avec les gens, tu n'avais jamais trop appris ; et pourtant, cela ne fut pas si insurmontable. Tu pensais que cela serait l'épreuve la plus compliquée de ta vie – après ton deuil – mais il n'en fut rien.

Tu ne sais même plus combien de temps cela t'a pris. Tu t'es juste rendu compte un jour, alors que ton groupe de potes t'attendaient depuis une dizaine de minutes, que tu commençais à être réellement intégré. Tu te mis à observer correctement ce qui t'entourait ; tout le monde te disait bonjour, le matin, énormément demandaient ton avis, ton attention, et même les prof s'inquiétaient beaucoup de tes (peu nombreuses) absences. Et cela te sauta à la figure comme une évidence, une évidence qui t'en fit pleurer de bonheur, le soir-même, alors que t'étais encore tout seul : tu avais réussi à t'intégrer, tu ne serais plus seul, dehors. Dehors, chez toi, c'était une autre histoire...

Surtout que personne n'était au courant pour ton statut. Personne ne savait non plus où tu vivais, qui était ta famille. Tu évitais les questions, en général, détestant l'idée de leur mentir. Mais comme beaucoup avaient une histoire compliquée, on insistait rarement, et c'était cool. Jusqu'à tes quinze ans, jamais personne ne sut, et tu continuas ta petite vie tranquillement. Tu avais pleins « d'amis », tu ne te posais pas vraiment de question. « Ce seront de bons alliés », t'avait une fois sorti ton oncle. Tu ne pensais pas vraiment de cette manière, c'était souvent perturbant et désagréable. Tu aurais préféré, sans aucun doute, une vie des plus banales, avec pleins de potes, sans avoir besoin de réfléchir. Mais ce n'était pas ça, ta vie.

Tu étais formé, en parallèle. Formé pour devenir un héro, mais pas que. Tu devais tout connaître du fonctionnement de X-Trem Factory, mais aussi des concurrents. Évidemment, cet enseignement ne se concentrait pas sur un an – et par ailleurs, il n'est pas encore fini, même si tu connais quasiment le personnel en entier de XTF. Pas personnellement, sur tes fiches. Tu aurais préféré connaître les gens personnellement, il va sans dire ; cela faisait vicelard comme ça, tout connaître depuis l'ombre... Mais en même temps, tu n'avais – et ne l'as toujours pas – envie que l'on sache qui tu es, alors tu t'en contentais.

Puis, à tes quinze ans, ton secret commença légèrement à s'ébruiter – par ton unique fait. Non pas que l'information filtra ; juste que tu ne pouvais le cacher à une personne. Une unique personne qui avait pris des proportions importantes dans ta vie.

C'est à tes quinze ans que tu le rencontras ; Allister Underwood, celui qui deviendrait ton meilleur ami. Tu étais un gars super populaire, lui, pas des masses. Mais il était fun, et ça t'avait suffit pour vouloir faire ami-ami. La première fois que vous vous êtes rencontré, c'est parce que vous étiez dans la même classe ; vous êtes tombés par hasard l'un à côté de l'autre. Puis vous êtes tout le temps tombé à côté de l'autre, mais un peu moins par hasard. Non parce que tu avais vite pris la fâcheuse habitude de virer ceux qui voulaient poser leur derrière à côté. Tu le sentais perplexe mais tu t'en foutais, tu n'en faisais – c'est toujours un peu le cas, non ? – qu'à ta tête. Puis vous avez commencé à discuter, à plaisanter. Et vous êtes devenus plutôt vite amis.

On ne comptera pas combien de temps ça vous a pris pour commencer à faire des conneries ensemble, mais disons fort peu. Vous devîntes vite proches, et avec lui, tu tissas une réelle amitié, quelque chose de fort et qui tiendrait. Il est vite devenu irremplaçable à tes yeux, important à un point tel que l'idée de tout lui cacher te devenait insupportable. Et donc, tu as fini par tout lui dire. Et sa réaction t'as pour ainsi dire... Aussi bien déstressé que sidéré. Disons que cela ne sembla lui faire ni chaud ni froid. Il fut étonné, c'est certain, mais après... C'était pas le truc qui avait révolutionné sa vie. Et fallait le dire, tu t'y attendais vraiment pas.

Personne d'autre ne sut jamais. Personne d'autre ne sait à ce jour. Et aucun événement marquant n'a à présent besoin d'être conté. Tu vis toujours seul dans ta tour de cristal, au dernier étage d'un immeuble du centre-ville, à seulement attendre que la solitude ne passe. T'es devenu assez fêtard, frôlant les désirs d'auto-destruction, c'est si dur de ne pas sombrer. Tu es toujours seul, en fin de compte, quoi que tu y fasses... Bien qu'Allister ait commencé à percer cette bulle de solitude, tu n'arrives pas réellement à t'en échapper. Et tu sombres, petit à petit... La solitude, la peur te ronge. Mais cela va aller, Jude.

Ouvre la porte, tu verras. Tu ne seras plus jamais seul.

derrière son écran...
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jude ♚ angel with a shotgun Empty
MessageSujet: Re: jude ♚ angel with a shotgun   jude ♚ angel with a shotgun EmptyJeu 12 Juil - 23:09






   Situé au dernier étage d'un bâtiment à la sécurité ultra perfectionnée, c'est un grand appartement aux grandes baies vitrées, fort lumineux, dont vous foulez le pas. Composé de 3 chambres, un grand salon avec vue sur le centre-ville, une cuisine américaine équipée dernier cri, une grande salle de bain et un bureau/bibliothèque avec de grands sofas. L'appartement possède aussi une grande terrasse accessible par les portes-vitrées du salon. C'est un appartement un peu en bordel, avec pleins de photos d'adolescents principalement. Quelques photos parmi elles indiquent l'existence de parents ayant vécu jadis, mais elles sont plutôt bien dissimulées parmi les autres plus vivantes.  

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